Bonjour,
je ne sais pas s'il y a une meilleure section du forum pour poster des histoires que j'écris, donc je tente le coup ici. Si ça ne convient pas, je comprendrai qu'on supprime mon post. Mais j'espère que ça plaira :)
Le bois.
Sachant qu’elle aimait ce genre de situation autant que moi, j’avais préparé une surprise à Justine pour cette fin de samedi après-midi.
On était fin juin, et les températures se prêtaient assez bien à ce genre de jeu.
Sans qu’elle le sache, je m’étais inscrit sur un site de voyeurs que l’on m’avait recommandé, et j’y avais annoncé le plan quelques jours avant.
Je disais que j’étais à la recherche de mateurs, mais que s’ils étaient à son goût et se comportaient correctement, elle s’occuperait peut-être d’eux.
Justine était dans une période plutôt gourmande, et était toujours partante pour mes jeux vicieux, ce qui avait le don de m’exciter encore plus. Oui, je suis de ces cérébraux qui aiment imaginer des scénarios, et dont l’idée même du jeu fait bouillonner les neurones autant que la queue.
J’avais sélectionné quelques jeunes hommes dont je savais que le physique plairait à ma belle.
Mais cette fois, je ne l’ai prévenue de rien. J’ai simplement proposé qu’on aille prendre l’air dans la forêt car j’en ressentais le besoin, et cette idée sembla lui convenir.
Ça nous a d’ailleurs fait du bien de marcher tranquillement dans les sous-bois, main dans la main, se retrouver après une dure semaine de boulot. Ne plus entendre que le vent dans les arbres et le son des oiseaux…Mais je ne pouvais pas complètement déconnecter mon cerveau, car nous approchions du point de rendez-vous. Je les y avais conduits la veille au soir, pour être sûr qu’ils trouvent le lieu aujourd’hui.
Je commence alors à faire courir mes mains sur elle…la sentant réceptive, je la pousse doucement mais fermement contre le tronc d’un arbre, et je lui embrasse le creux du cou comme je sais qu’elle aime, ça a le don de la faire décoller très rapidement. Là je lui murmure à l’oreille: « Tu veux me faire plaisir ? »
Elle me regarde pleine de désir en hochant la tête positivement.
« Alors ne bouge surtout pas. »
Je savais que ce serait dur pour elle, mais aussi très excitant. Elle aimait que je mène le jeu et que je lui dise quoi faire, ne pas faire…ça lui permettait d’être enfin dans le lâcher-prise qu’elle s’autorisait si rarement au quotidien.
Je décidai de vérifier de mes doigts son niveau d’excitation en remontant sa jupe le long de ses cuisses…
Oui, je dois vous dire que nous avons une règle: quand nous sortons ensemble, elle ne doit pas porter de culotte.
Certes cette règle facilite nos jeux, mais cette règle ne sort pas du petit manuel du parfait petit Dom. Je sais simplement que le fait de ne pas en porter, à ma demande, la fait mouiller comme pas permis. Et que j’aime à la savoir dans cet état à mes côtés.
Et cette fois là, comme les fois précédentes, son sexe n’était pas humide…il était trempé !
Et le sentir couler sur mes doigts suffisait à me faire raidir en un claquement de doigts.
Derrière le tronc, je voyais mes mateurs qui se rapprochaient discrètement.
Je sortis un foulard de ma poche et lui bandai les yeux. Cinq ans de vie commune…je savais comment l’emmener loin…et vite.
« Mets-toi à genoux Justine »
Dans un soupir qui trahissait son émotion, elle s’exécuta. Elle avait une petite idée de la suite…enfin seulement le début.
Effectivement, comme elle s’y attendait, elle m’entendit ouvrir ma braguette, les sons prenant une toute autre dimension une fois les yeux bandés. Le sens du toucher aussi, alors quand elle sentit mon gland caresser doucement ses lèvres, la tentation était trop grande, et elle entreprit de me sucer, avec toute la gourmandise et le savoir-faire dont elle faisait preuve. Elle aussi savait me faire partir au quart de tour.
Mais je gardais un peu de concentration pour indiquer d’un geste aux trois jeunes hommes comment se placer tout en leur intimant de ne pas se faire remarquer.
J’interrompis Justine et vint m’accroupir à sa gauche.
Je lui chuchotai tout en lui caressant tendrement la chatte:
« Tu vois ma douce, ça fait maintenant dix minutes que trois charmants jeunes hommes se délectent de notre petit spectacle »
Elle gémit.
« Tu es un peu comme dans un de ces « livres dont vous êtes le héros »; c’est toi qui va décider de la suite du jeu. Ça peut tout à fait s’arrêter là pour eux, ils ont été prévenus et ne seront pas frustrés si c’est le cas, je t’assure. Par contre, si tu le désires, tu peux jouer avec eux; yeux bandés ou pas, c’est toi qui choisis, ma reine. »
Ce qu’elle me susurra me ravit.
Je fis signe à deux d’entre eux de s’approcher d’elle, qui restait les yeux bandés.
Timidement, elle commença à les caresser.
Les sentant rapidement durcir au contact de ses mains, elle ne put résister à l’envie de les prendre en bouche. Je restai à genoux à ses côtés, stimulant désormais son clitoris extérieurement et intérieurement. Les voyeurs pouvaient entendre ce « clapotis » si caractéristique, et moi j’avais une vue magnifique sur ces deux queues qui entraient et sortaient à tour de rôle de la bouche de ma chérie.
Elle s’enhardit et entreprit de les goûter les deux à la fois. Elle ne tenait plus en place, son côté le plus animal avait fait surface et ça me rendait dingue. Je lui rappelai discrètement que si elle le souhaitait, un troisième homme était toujours à sa disposition.
Elle acquiesça et décida de le branler, tout en continuant de sucer avec hardiesse et avidité ces deux jolis instruments de plaisir que je lui offrais.
Cependant, je la sentais partagée sur une chose; elle gardait le foulard par souci d’anonymat, mais elle mourait d’envie de voir ces jolies tiges qui lui procuraient tant de plaisir…
Je demandai alors aux hommes de bien vouloir fermer les yeux deux minutes, afin qu’elle puisse profiter de la vue. Il ne se firent pas prier et fermèrent les yeux.
La vue était semble-t-il à la hauteur de ses attentes, au vu du regard reconnaissant qu’elle m’adressa, tout en reprenant de plus belle.
Mais elle aperçut quelque chose que je n’avais pas anticipé.
Un peu plus loin devant elle, une femme se tenait debout, jupe retroussée elle aussi, mais avec un jeune homme entre les cuisses, qui léchait consciencieusement tout ce qu’elle avait à lui offrir. Mais elle avait poussé le vice elle aussi en lui bandant les yeux, pendant qu’elle ne perdait pas une miette de notre petit show privé, sur lequel elle avait eu la chance de tomber.
Elle guidait la tête du jeune homme dans des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides. Savait-il seulement ce qu’il loupait ? Avait-elle poussé le vice jusque à lui décrire ce qu’il était contraint de ne pas voir ?
Toujours est-il que je l’entendais gémir, lui.
Cet imprévu m’excitait encore plus que mon scénario initial !
Je fis un geste vers la femme, les invitant à se rapprocher, ce qu’ils firent, elle debout, lui à quatre pattes au bout de sa laisse.
Le jeu reprit.
Justine se remit à sa joyeuse tâche, tant et si bien, que rapidement les deux qu’elle prenait en bouche (et bordel, elle les engloutissaient !) ne purent se retenir plus longtemps.
Les râles de jouissance associés à la langue habile de son soumis amenèrent l’inconnue à l’orgasme.
Mais quel esprit joueur l’habitait ! Elle se rapprocha de moi et me chuchota son idée, que j’acceptai avec plaisir, à la seule condition que le troisième homme soit partant lui aussi.
Une courte vérification nous permit de continuer le jeu.
Elle approcha son soumis de la queue du jeune homme.
Je l’entendis lui dire:
« Devant toi il y a un homme. Il bande déjà dur. Je veux te voir le sucer comme tu m’as montré que tu savais faire avec ton gode. Je compte sur toi pour t’appliquer. »
Il prit à peine le temps de la remercier qu’il engouffra le sexe raide dans sa bouche et s’appliqua, comme sa maîtresse le lui avait demandé.
Ce sexe d’une taille respectable disparaissait à intervalles réguliers, entre lesquels le soumis s’ingéniait à tirer des soupirs de plaisir au jeune homme, en jouant avec sa langue sur son gland, le long de son frein, alternant les rythmes…
En cinq minutes il lui avait réglé son compte. Il se retourna vers sa maîtresse, avec un sourire satisfait d’où perlait une goutte de plaisir:
« Cela vous a-t-il convenu Madame ? »
